Denis Muzet écrit Le son du vivant en 2022, « fondé sur une pratique personnelle du son en même temps qu’une réflexion sociétale sur la place croissante du sonore dans nos sociétés, cet essai sonne comme un vibrant appel à ouvrir grand nos écoutilles ».
Il y détaille les bienfaits de l’écoute, notamment de la nature, et ses limites en raison de la multiplication des bruits. Il invite à réapprendre à écouter et incite la politique à s’emparer de ce thème par l’écoulogie, un mot faisant référence à l’écoute et à l’écologie.

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